A l'époque le Japon n'avait pas encore l'aura technologique, médiatique, artistique et culturelle qu'il a acquis depuis la seconde moitié du XXe siècle. Il abandonnait alors tout juste (par la contrainte de l'occident) les institutions féodales qui le contrôlaient, et cela se ressent parfaitement dans le traitement et les dimensions modestes de ce pavillon. Ces images sont belles à tous points de vues, ce dont je ne peux que te féliciter.
Pour celui-là, c'est surtout une bonne dose de feeling qui aura été nécessaire... un pavillon trop peu décrit, trop peu documenté. Il y en avait un autre dans le parc du Trocadéro qui semblait avoir eu beaucoup plus de succès. Celui-ci resta dans l'ombre du pavillon chinois.
A l'époque le Japon n'avait pas encore l'aura technologique, médiatique, artistique et culturelle qu'il a acquis depuis la seconde moitié du XXe siècle. Il abandonnait alors tout juste (par la contrainte de l'occident) les institutions féodales qui le contrôlaient, et cela se ressent parfaitement dans le traitement et les dimensions modestes de ce pavillon.
RépondreSupprimerCes images sont belles à tous points de vues, ce dont je ne peux que te féliciter.
Pour celui-là, c'est surtout une bonne dose de feeling qui aura été nécessaire... un pavillon trop peu décrit, trop peu documenté.
RépondreSupprimerIl y en avait un autre dans le parc du Trocadéro qui semblait avoir eu beaucoup plus de succès.
Celui-ci resta dans l'ombre du pavillon chinois.